LES CHIOTS DE VIOLINE - Conclusion

« Nos petits » ont maintenant 9 ans ½, nous avons le privilège de continuer à veiller sur eux en les soignant !

On ne peut pas dire qu’ils soient beaucoup plus calmes actuellement, mais ce sont des chiens adultes et même séniors.

Ils ont tous des familles formidables qui savent rendre les chiens heureux et font rimer respect avec qualité de vie !

Merci à tous les protagonistes de l’histoire, 4 pattes et  2pattes réunis.

EWAN

ETHAN

EFFIE

MAGGY et ENKI

Je laisse le dernier mot à « Maggy petit ».

LES CHIOTS DE VIOLINE - Chapitre 7 – Le retour à Ermont – 2ème partie.

Et désormais, nous savons faire appel à des accessoires pour jouer.

Et Violine n’est pas la dernière à jouer !

Avec l’eau

Les bouteilles en plastiques

Les bouteilles en plastiques ont toujours été un des jeux préférés de Violine.

Elle a d’ailleurs une tactique infaillible pour enlever le bouchon des bouteilles vides !

Ce n’est donc pas par hasard qu’elle initie ses petits aux « jeux de bouteilles » !

Et puis, nous sommes rentrés dans la phase de terrassement du jardin ! Maggy s’en est donné à cœur joie ! Après cette activité intense, un bon dodo sur le canapé, pour recharger les batteries.

Les chiots savent maintenant très bien demander notre attention…

Puis ce fut le temps pour ceux qui devait quitter notre maison de rejoindre leurs nouvelles familles respectives. Ce fut pour nous une séparation difficile.

Mais, nous avons tout de même la chance de continuer à tous les soigner…

Et le petit quelque chose est toujours très apprécié !

LES CHIOTS DE VIOLINE - Chapitre 7 – Le retour à Ermont – 1ère partie.

Les meilleures choses ayant une fin, vint le temps de retourner à Ermont. Les vacances étaient finies. Nous avons  retrouvé nos habitudes au jardin.

Les jeux sont plus élaborés et les caractères se dessinent… Et la patience commence à faire son apparition… Ewan attend que sa mère relâche son attention pour s’emparer de son bâton.

Et pour nous aider à l’apprentissage, il y a le petit quelque chose. Et le petit quelque chose est toujours d’actualité neuf ans après ! C’est le mot que nous utilisons pour leur dire qu’ils vont avoir une friandise. Mais ils préfèrent nettement le vrai « petit quelque chose » qui est un petit fromage fondu fort célèbre !!!!!

Ils ont grandi et nous, nous avons passé des vacances merveilleuses à les regarder « pousser » !

LES CHIOTS DE VIOLINE - Chapitre 6 – Les vacances en Auvergne – 4ème partie.

Tout ceci ne nous empêche pas de continuer à profiter des jardins de la maison, notamment celui du devant où nous prenons désormais régulièrement  nos repas.

Et où nous découvront de nouveaux jeux.

Et quand on est fatigués, on peut même faire la sieste au jardin...

...ou bien à l’intérieur.

LES CHIOTS DE VIOLINE - Chapitre 6 – Les vacances en Auvergne – 3ème partie.

C’est en Auvergne que nous ferons notre première sortie dans le vaste monde, avec tant qu’à faire, une sortie en montagne pour le première fois le 6 août.
Les chiots ne sont pas les seuls à ressentir une immense liberté en étant dans cette montagne préservée !
Si petits ils ont déjà pas mal d’expériences au compteur.

Découverte de la gentiane

Et nous renouvellerons deux jours plus tard avec Manon.

Et c’est l’occasion pour apprendre à boire à la bouteille. C’est un des apprentissages importants chez nous. Il faut pouvoir boire partout !
Violine a toujours eu un foie fragile et des besoins en eau réguliers, du coup tout le monde boit régulièrement… De l’eau des montagnes d’Auvergne évidemment.

LES CHIOTS DE VIOLINE - Chapitre 6 – Les vacances en Auvergne – 2ème partie.

Pour pouvoir rester dehors en toute sécurité dans le jardin de derrière qui n’est pas bien clos, on nous a construit un parc.

D’autant plus que dehors on a parfois de grosses peurs ! Voici ce qui s’est passé un jour.

Après la sieste, nous sommes sortis en famille, et là, brutalement un énorme chien est arrivé en courant et en aboyant dans notre jardin. Un Saint Bernard adulte et pas du tout amical !

Maman Violine a poussé certains d’entre nous dans la maison en courant, et les deux retardataires ont plongé dans un trou sous la terrasse ! Plus de peur que de mal, mais le parc nous a donné une sensation de protection qui nous a permis de retrouver confiance.

Ce qui n’empêche pas par moment de goûter à la liberté. Et quand il faut rentrer, on ne quitte le jardin qu’à regret et après de longues négociations.

Et une fois rentrés, c’est le repos dans le salon, avec un goût prononcé pour le canapé.

Et pour la nuit, notre parc nous a suivi.

LES CHIOTS DE VIOLINE - Chapitre 6 – Les vacances en Auvergne – 1ère partie.

Avec le mois d’août, arrive la période des vacances. Une bonne occasion de partager notre repos estival et le bon air d’Auvergne avec « nos petits ».

Violine a toujours adoré aller dans le Cantal pour courir librement dans la montagne, se baigner et boire dans les ruisseaux et rester dans le jardin des heures entières….

Elle l’a partagé avec bonheur avec ses chiots.

Nous avons mis la voiture en couchette, pour pouvoir charger sur tout l’arrière. Nous y avons installé le kennel que nous avons calé avec les bagages. Ainsi nous pouvions voyager tout en surveillant les petits.

Puis nous avons pris la route et direction de la maison de famille dans  le Cantal.

Une fois arrivés, on découvre deux nouveaux jardins, mais pas question de changer ses habitudes, on joue et on mange dans le jardin.

Et on fait la sieste dans le salon.

LES CHIOTS DE VIOLINE - Chapitre 5 – La vie s’organise – 3ème partie.

Au jardin, on explore vraiment tout. Tout est prétexte à jour, à se disputer, et les jeunes mâles commencent à y mettre une certaine agressivité ! Maggy, égale à elle même, règle les conflits en s’asseyant sur ses frères et sœurs. Elle est souvent la première à faire des bêtises.

Tout est mâché et méthodiquement exploré. 

Et quand on en a assez, on sait maintenant rentrer tout seul. Finie la tranquillité, ils peuvent maintenant aller et venir au jardin… Pour la toute première expérience dans les escaliers, un peu d’encouragement et quelques petits gémissements permettent de se donner du courage ! 

Aussi, pour pouvoir avoir un peu de tranquillité de temps en temps, nous leur avons fabriqué un parc. Et c’est si beau, si apaisant de les voir dormir si paisiblement …

LES CHIOTS DE VIOLINE - Chapitre 5 – La vie s’organise – 2éme partie.

On a pris ses habitudes au travail.

Et, finie la tranquilité pour Violine.

La conquête du Jeff’s Bag est prétexte à chahut.

LES CHIOTS DE VIOLINE - Chapitre 5 – La vie s’organise – 1ère partie.

Maintenant, on est des grands. On prend ses marques dans sa propre vie.

On mange dans une gamelle.

On réclame.

On joue de plus en plus

LES CHIOTS DE VIOLINE - Chapitre 4 – Les premières découvertes – 3éme partie.

C’est l’escalade. On mange plus, on a plus d’énergie, on peut en faire beaucoup plus. Les jeux sont de plus en plus dynamiques.

On peut enfin jouer avec Violine qui n’attendait que ça.

On se permet même de squatter le Jeff’s Bag de Violine.

LES CHIOTS DE VIOLINE - Chapitre 4 – Les premières découvertes – 2ème partie.

Le 14 juillet, une journée de repos à la maison fût une excellente occasion d’accélérer le rythme des découvertes.

Tout d’abord, la première sortie au jardin.

Et comme on commence à se sentir autonome, pourquoi ne pas manger tout seul dans son assiette.

Cela donne encore plus d’énergie pour les jeux.

Et avec l’augmentation de l’activité, il devient nécessaire de mieux se nourrir. Il est temps de démarrer les premiers repas lait maternisé-croquettes.

LES CHIOTS DE VIOLINE - Chapitre 4 – Les premières découvertes – 1ère partie.

Dés le début, nous avons permis aux chiots de découvrir leur environnement, en fonction de leurs capacités.

Les tapis autour du kennel …

… et le canapé pour commencer.

Ils y prirent goût rapidement et en redemandaient.

Puis ce furent les premiers pas.

Et enfin les premiers jeux.

LES CHIOTS DE VIOLINE - Chapitre 3 – Les premiers jours

Violine s’adapta rapidement à sa nouvelle vie. Elle semblait très heureuse de s’occuper de ses cinq petits chiots, deux femelles et trois mâles, je ne crois pas vous l’avoir encore dit.

Un rythme de croisière se mit vite en place.

Le matin, après le réveil, Violine mangeait sa gamelle. Dès que nous avions préparé tout le monde pour le départ au travail, nettoyage et préparation du lit en prévision du retour le soir. Trajet jusqu’au cabinet où un autre lit tout propre attendait la petite famille.

Dans la matinée, pesée et examen des bébés puis biberons.

Longues siestes et tétées tout au long de la journée.

Nouveaux biberons en milieu d’après-midi.

Repas de Violine à 19H00 puis embarquement pour le retour à la maison.

La nuit, quand arrivait l’heure du biberon, Violine se levait et venait réveiller Patrick. Elle prenait alors sa place sur le canapé et profitait de ce qu’il nourrisse les bébés pour dormir profondément pendant un moment. Pendant ce temps, Patrick donnait les biberons, laissait les chiots déjà nourris se promener dans le salon, puis refaisait le lit. Il récupérait ensuite les petits et les prenait un peu sur lui pour les rendormir. Quand c’était fait, il les déposait délicatement pour ne pas les réveiller dans le lit et nettoyait le salon. Violine reprenait alors sa place et Patrick pouvait finir sa nuit avant d’entamer une nouvelle journée.

LES CHIOTS DE VIOLINE - Chapitre 2 – L’installation

Nous avions préparé un kennel de transport pour accueillir la petite famille. Seule la partie basse avait été conservée et la grille de fermeture remplacée par une petite planche afin d’éviter que les petits ne puissent sortir sans pour autant bloquer Violine.

Une bonne épaisseur de draps constituait un couchage chaud et confortable, facile à changer pour qu’il soit toujours propre.

 

Violine, jusque là, nous avait toujours suivis partout. Pas question de changer ses habitudes, les bébés ont suivi le mouvement dès leur premier jour. Pour partir travailler, nous embarquions les chiots dans un module de transport pour les charger dans la voiture et Violine venait avec nous.

A la maison, le kennel était installé au centre du salon, la pièce à vivre de la maison, si bien que Violine nous avait toujours avec elle.

Comme elle avait dû subir une césarienne, la première nuit, Patrick dormit à côté d’elle sur le canapé.

Au travail, le kennel était dans le bureau, l’endroit où Violine avait l’habitude de rester.

C’est là que nous nous rendîmes compte que Violine n’avait pas tout à fait assez de lait pour nourrir suffisamment ses cinq petits chiots. Nous mîmes en place une alternance entre tétées maternelles et biberons. Il fallut de ce fait rester près d’eux la nuit pour le biberon de la nuit.

 

 

LES CHIOTS DE VIOLINE - Chapitre 1 – L’arrivée

Au début du printemps 2009, Violine  rencontra Vinyl, un bel épagneul de son âge.

VINYL

Deux mois après, tout le monde se préparait à un heureux événement.

Un lundi matin, le 22 juin pour être précis, au cours de sa ballade matinale, Violine a perdu le bouchon muqueux. Le grand moment était arrivé, des petits chiots allaient bientôt courir dans la maison. On installa confortablement Violine à son endroit habituel et l’attente commença.

 

 Le temps passa et rien ne se produisit. Nous décidâmes de faire une échographie et un dosage hormonal afin de vérifier que tout évoluait correctement. Rien d’alarmant à l’échographie, on pouvait attendre encore. Mais une heure plus tard, Julie nous appelait : les résultats du dosage sanguin indiquait qu’il fallait sortir les petits. Nous pratiquâmes alors immédiatement la césarienne et par bonheur les cinq petits naquirent en pleine forme et la maman se réveilla bien.

 

Nous la laissâmes finir de sortir de son sommeil dans le lit que nous lui avions confectionné, tout en laissant têter les petits qui avaient besoin de ce premier lait maternel.

 Vers 16 heures, il fut l’heure d’aller chercher les filles à la sortie du lycée et de ramener toute la petite famille à la maison. Tout le monde fut embarqué dans la voiture et direction le lycée. Mais nous n’avions pas imaginé que la présence des bébés chiots dans la voiture provoquerait un attroupement de jeunes gens se bousculant pour admirer le spectacle. Heureusement les filles arrivèrent rapidement et l’on pût rentrer s’installer à la maison.

LES CHIOTS DE VIOLINE – PREAMBULE

VIOLINE

Après une trop longue absence, je suis de retour pour vous raconter une histoire que je souhaitais partager depuis longtemps. Je dois vous confier qu’une très grande peine m’a jusqu’ici empêchée d’évoquer ces souvenirs. Il s’agit d’un instant de vie avec Violine, notre chienne épagneul breton, qui nous a quittée il y a un an et demi. Nous avons passé des moments formidables avec elle, appréciant chaque jour sa gentillesse, son intelligence, sa joie de vivre, si bien que pendant longtemps, la tritesse liée à son absence ne quittait plus nos pensées. Aussi, le fait d’évoquer sa vie nous plongeait dans un tel désarroi, qu’il était tout simplement inenvisageable de raconter quoi que ce soit à son sujet. Le temps faisant son œuvre et aussi, sans doute, l’habitude de vivre avec cette douleur, j’ai désormais le désir de revivre avec vous une de ces belles aventures que nous avons vécu avec elle.
Violine a toujours été une chienne très sociable qui, même si elle vivait pleinement au milieu de notre famille, appréciait la compagnie de ses congénères chiens et même la recherchait. Ce fut pour elle un grand bonheur d’avoir des bébés chiens et de pouvoir ensuite profiter d’une vie de famille de chiens, bonheur que nous avons partagé avec elle. Je vais donc vous raconter l’histoire des chiots de Violine.